À Spa-Francorchamps, aux 24 Heures du Mans puis au Nürburgring, Alpine a fait retentir la Marseillaise sur le podium LMP2 du Championnat du Monde FIA WEC. Confiée aux mains expertes de Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi et Gustavo Menezes, la Signatech-Alpine n°36 s’est imposée comme la référence de la catégorie !
Avec le début de la tournée outre-mer, qui passera ensuite par les États-Unis, le Japon, la Chine et Bahreïn, le WEC entre dans une nouvelle phase, qui contraint les équipes à évoluer loin de leurs bases habituelles.
Pour pimenter un peu plus les difficultés, cet enchaînement de cinq courses emmène d’abord les concurrents en terre inconnue. Totalement restauré pour le retour de la Formule 1 en 2015, l’Autodromo Hermanos Rodriguez est déjà considéré comme un des plus beaux stades automobiles actuels. Le tracé est singulier à plus d’un titre, avec une longue ligne droite de 1,2 km, des enchaînements de courbes rapides pour ‘gros cœurs’ et une section sinueuse serpentant entre d’immenses tribunes, où se massent plus de 100 000 spectateurs ! Très bosselée et située à près de 2300 mètres d’altitude, cette piste s’annonce aussi comme un casse-tête pour les ingénieurs, qui devront trouver les meilleurs réglages dans ces conditions.
Comme la plupart de leurs adversaires, les pilotes Alpine sont enthousiastes à l’idée de découvrir le chaudron mexicain. Même si cela ne constitue pas un objectif en soi, Nicolas Lapierre, Stéphane Richelmi et Gustavo Menezes ne seraient pas contre le fait d’aligner une quatrième victoire consécutive ! Mais avec 41 points d’avance sur leurs plus proches poursuivants, les pilotes de la Signatech-Alpine n°36 pourraient également se contenter d’une place d’honneur en vue de la conquête du championnat du monde.
Associés sur la Baxi DC Racing Alpine n°35, Nelson Panciatici, Ho-Pin Tung et David Cheng doivent jouer une autre partition. Affichant régulièrement son potentiel, le trio doit pourtant se contenter de deux septièmes places pour meilleurs résultats. Après un gros travail de préparation pour ce nouveau circuit, ils voudront tirer parti de leur potentiel pour jouer une place sur le podium.
Après les essais libres (jeudi) et les qualifications (vendredi), les 6 Heures de Mexico se disputeront le samedi 3 septembre. Le départ sera donné à 13h30 (GMT-5).
Bernard Ollivier, Directeur général-adjoint d’Alpine : " C’est une grande joie d’aller courir en Amérique Latine et de retrouver une terre historique dans l’histoire d’Alpine. Dans les années 60, des A110 ont été notamment produites au Mexique dans le cadre d’accords de licences. Nous comptons donc plusieurs clubs et des collectionneurs d’envergure dans ces pays et nous allons entretenir leur passion en affichant notre esprit conquérant ! Les trois succès consécutifs nous ont confortés dans nos choix. L’Alpine A460, les pilotes, l’équipe et la stratégie composent un ensemble qui délivre des résultats à la hauteur de nos ambitions. Tout en sachant très bien que nous ne pourrons pas gagner toutes les courses, nous faisons évidemment tout pour être au meilleur niveau lors de ce rendez-vous important. Nous espérons bien, également, que la n°35 vaincra le signe indien pour enregistrer un résultat probant. Je suis impatient de découvrir l’ambiance de l’autodrome des frères Rodriguez et je ne doute pas que cette manche sera un grand événement populaire ! "
Philippe Sinault, Team principal Signatech-Alpine : " Depuis le Nürburgring, l’équipe a effectué un gros travail logistique pour préparer les cinq dernières courses de la saison. Nous sommes rodés à cet exercice depuis plusieurs saisons, mais c’est toujours une phase délicate avec deux voitures à gérer. Les manches vont se succéder à un rythme effréné et notre petite communauté va vivre en mode commando. Nos trois victoires consécutives ont validé notre approche avec la n°36 et nous ne changerons rien. Il ne s’agit pas de jouer la gagne à tout prix, mais d’évoluer à un rythme élevé pour tirer parti de chaque opportunité. Même si nous avons une belle avance, nous ne pouvons pas nous relâcher. En ce qui concerne la n°35, nous avons estimé qu’il nous fallait bâtir une stratégie différente, pour être à l’affût des opportunités susceptibles de déboucher sur des résultats concrets. Nous sommes tous enthousiastes à l’idée de découvrir le circuit de Mexico. Les pilotes ont beaucoup travaillé sur notre simulateur Ellip6 et l’équipe connaît désormais suffisamment bien l’Alpine A460 pour pouvoir réagir rapidement et efficacement. "
David Cheng : " Je suis impatient d’être à Mexico. C’est un nouveau circuit et un challenge à part entière pour chacun d’entre nous. Dans un sens, je pense que c’est un avantage pour notre équipage, dans la mesure où nous avions plutôt un déficit d’expérience sur les manches européennes. Depuis le Nürburgring, nous avons pris le temps de réfléchir et d’analyser où se situent nos points forts et nos points faibles. Nous avons un package de qualité et un niveau de performance susceptible de nous placer sur le podium. Mais pour y parvenir, nous devons exploiter encore plus nos atouts. Il est possible que notre stratégie s’avère plus offensive, pour tirer parti des faits de course au lieu de les subir. Si nous parvenons à mettre notre manque de réussite derrière nous, je pense que cette approche sera bénéfique. J’espère que nous offrirons un beau spectacle au public mexicain. Sur le simulateur, le tracé est génial, mais je pense que cela prendra une nouvelle dimension avec les tribunes pleines de fans ! Ce sera sans doute un événement à part pour le WEC. "
Nicolas Lapierre : " Lorsqu’on avance dans une carrière de pilote, c’est de plus en plus rare de découvrir un tout nouveau circuit. Je crois que nous sommes tous très excités à l’idée de courir à Mexico. Plus encore que d’habitude, le simulateur est l’outil privilégié pour travailler en amont. J’ai aussi regardé toutes les caméras embarquées des catégories ayant roulé sur ce circuit depuis un an. Cela permet de se faire une idée des zones où l’on peut doubler, des caractéristiques des vibreurs, etc. Une fois sur place, nous devrons être encore plus méticuleux à chaque étape du week-end de course, dès le tour de reconnaissance que nous effectuons à pied. L’autodrome semble agréable sur le plan du pilotage, avec une grande ligne droite, des courbes rapides et plusieurs zones de dépassement. Sur le plan des réglages, il faudra prendre en compte la chaleur, mais aussi l’altitude qui influera sur les performances moteur et la charge aérodynamique. Nous abordons ce rendez-vous avec une belle avance au championnat, mais nous savons qu’il peut se passer beaucoup de choses sur des courses de six heures. Il faut continuer à travailler, sans rien laisser au hasard, pour poursuivre notre marche en avant. "
Jeudi 1er septembre
Essais libres 1 - 13h30
Essais libres 2 – 18h00
Vendredi 2 septembre
Essais libres 3 - 10h00
Qualifications - 14h40
Samedi 3 septembre
Course – 13h30
A120 ça fait un peut AirBus
Blague a part le t de bord est assez sympa ... http://www.auto-moto.com/nouveautes/alpine/nouvelle-alpine-a120-2016-revelee-le-16-fevrier-51332.html#item=1
22-24 Novembre 2024
Essais Libres 1
03:00 - 04:00
Essais Libres 2
07:00 - 08:00
Essais Libres 3
03:00 - 04:00
Qualifications
07:00 - 08:00
Course
07:00 - 09:00
29 Novembre-01 Décembre 2024
06-08 Décembre 2024
Un double podium pour l'Histoire du moteur Renault en Formule 1
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